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Si identification il y a, c'est avec un esprit et une façon de vivre et de penser plutôt qu'avec un personnage unique – et ce simple glissement confère au film une légèreté éblouissante, dont les séquences larmoyantes que l'on a pu reprocher à Capra dans d'autres films sont définitivement exclues. La fable, comme souvent, dénonce les détenteurs du pouvoir et de l'argent, qui ont bâti leur vie sur d'égoïstes ambitions de réussite sociale, au mépris de bien des valeurs humaines, et aussi, sans aucun doute, d'une certaine fantaisie. Mais le propos est ici d'autant plus parlant que la forme même du récit invite au partage et à la générosité: il y a très peu de hiérarchie entre les personnages, et même l'histoire d'amour entre James Stewart et Jean Arthur (le couple-vedette de Mr Smith au Sénat) a moins d'importance que le tableau global d'une joyeuse petite troupe où chacun, à un moment où à l'autre, aura son mot à dire (ou à chanter, ou à crier). Le film puise sa force comique et son incroyable énergie dans un principe simple: le plaisir de la transgression, le refus de toute forme de convention ou de conformisme.
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Lors de la scène du dîner au restaurant, les efforts de James Stewart pour cacher la pancarte suspendue au dos de sa promise, ne sont pas sans rappeler ceux de Cary Grant tentant de masquer la robe déchirée – et le derrière – de Katharine Hepburn dans L'Impossible Monsieur Bébé, qui date également de 1938; et les scènes où tout un microcosme se retrouve subitement derrière les barreaux sont également très proches dans les deux films. La douce folie des héros de Vous ne l'emporterez pas avec vous est à la fois folie de langage, et folie de corps. Au tourbillon de répliques qui fusent, et à leur brillant franc-parler, répond le tourbillon d'acrobaties auxquelles se livrent, à des degrés divers, les membres de la famille Sycamore. Des pas de danse ininterrompus de la petite sœur en tutu (Ann Miller) à la séance de lutte improvisée, en passant par la danse « Big Apple » qu'une bande de gamins des rues apprend à Jean Arthur et James Stewart, le corps est sans cesse amené à s'exprimer, à s'affirmer.
Sortie le 03 novembre 1938
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Abonné Critique par Cécile Mury
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Conjugaison des sentiments et idéaux par des personnages aussi tendres qu'extravagants. Laissez-moi l'autre côté de l'écran! Vous pouvez voir ce film sur 2 réseaux
Vous ne l'emporterez pas avec vous Sortie le 03 novembre 1938
Fiche technique
Fiche technique Synopsis Martin Vanderhoff s'est retiré des affaires voici trente ans, après avoir réalisé qu'il ne pourrait emporter sa fortune dans l'au-delà. Cet épatant patriarche vit avec sa fille, Penny, son gendre, Paul Sycamore, et leurs enfants. Alice, son autre - et charmante - fille, est la secrétaire de Tony Kirby, le fils d'un milliardaire sans pitié qui projette de raser le quartier où vivent les Vanderhoff pour y construire un complexe immobilier. Tony voudrait épouser Alice.