14 JUILLET - Cette année, le traditionnel défilé militaire du 14 juillet était placé sous le signe de la coopération militaire européenne. Étaient au programme notamment une démonstration futuriste d'"homme volant", un hommage aux blessés de guerre, 4300 militaires, 196 véhicules, 237 chevaux, 69 avions et 39 hélicoptères. Outre les traditionnels défilés de troupes à pied et ballets d'hélicoptères, l'armée française a mis à l'honneur ses drones et robots développés pour "la guerre de demain". Par ailleurs, neuf pays participant aux côtés de la France à l'Initiative européenne d'intervention (IEI) étaient représentés: aux côtés d'Emmanuel Macron se tenaient, entre autres, la chancelière Angela Merkel, les Premiers ministres des Pays-Bas, Mark Rutte, et de Belgique, Charles Michel, ainsi que le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Revivez ci-dessous le défilé militaire de ce 14 juillet 2019 sur les Champs-Élysées: 12h55 - Emmanuel Macron rend hommage aux soldats Le président était au micro de Michel Drucker pour France 2 et a notamment adressé un message aux familles de soldats tombés sur le terrain et à ceux toujours en activité.
Sport et nature
- Les marques et vous
- Art et nature
- Demain ne meurt jamais dofus l
- Le marrakech du rire 2017
- Richard anconina jeune
- Nature et
- Sfr reprise mobile site
Nicolas Maduro Guerra, fils du président vénézuélien Nicolas Maduro, a menacé de «prendre la Maison Blanche» si Donald Trump mettait à exécution son projet d'intervention militaire au Venezuela dont il a récemment menacé Caracas. «Si les Etats-Unis s'attaquent à la patrie, nos fusils viendront jusqu'à New York et prendront la Maison Blanche». Ces paroles fortes ont été prononcées par Nicolas Maduro Guerra, le fils du président vénézuélien Nicolas Maduro, lors d'un débat à l'Assemblée constituante du pays, le 12 août dernier. Ses propos ont été rapportés par le quotidien de centre gauche El Nacional, opposé au président Maduro. Le fils du président vénézuélien répondait ainsi aux propos du président américain Donald Trump, qui peu avant, avait déclaré aux journalistes que Washington n'excluait pas une intervention militaire contre Caracas. Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino, avait déjà qualifié cette sortie d'«acte de folie», ajoutant qu'en cas d'agression de Washington, les Vénézuéliens seraient «tous au premier rang pour défendre les intérêts et la souveraineté de [leur] Venezuela bien-aimé».