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Les médicaments contre l'hypertension n'augmentent pas le risque de contracter la maladie du Covid-19 ou d'en développer des formes sévères. Cette conclusion, apportée par trois études publiées dans le New England Journal of Medicine, ce vendredi 1er mai, ne devrait pas manquer de rassurer les millions de gens qui en prennent à travers le monde. Dans le détail, les études ont porté sur deux classes de médicaments, qui sont également donnés aux personnes diabétiques. Ces médicaments se terminent généralement en -pril, tels que lisinopril, et d'autres tels que valsartan et losartan. Une crainte avait été formulée à la suite d'études animales montrant que ces molécules risquaient d'augmenter dans le corps la présence de protéines appelées ACE2, qui servent de portes d'entrée au nouveau coronavirus chez l'homme. Les trois études se basent sur les dossiers médicaux de milliers de patients ayant fait un test pour le nouveau coronavirus. Les chercheurs ont tenté de trouver une éventuelle corrélation entre la prise de ces médicaments et l'infection. "
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Mais il expose à des entéropathies avec des diarrhées chroniques parfois sévères et des pertes de poids, et peut-être un excès de mortalité cardiovasculaire. Il est préférable de choisir un autre sartan parmi les nombreux disponibles tels que le losartan (Cozaar ou autre) ou le valsartan (Nisis, Tareg ou autre), qui ne sont pas connus pour exposer à ces effets indésirables. »
Les médicaments contre l'hypertension à base d'olmésartan déremboursés en raison de leurs risques (France)
Hypertension: quels médicaments choisir? (revue Prescrire)
Les hypocholestérolémiant (anticholestérol)
« Le bézafibrate (Befizal), le ciprofibrate (Lipanor ou autre) et le fénofibrate (Lipanthyl ou autre), des hypocholestérolémiants sans efficacité préventive cardiovasculaire, exposent à de nombreux effets indésirables, notamment cutanés, hématologiques et rénaux. Quand un fibrate est justifié, le gemfibrozil (Lipur) est le seul qui a une certaine efficacité démontrée sur les complications cardiovasculaires de l'hypercholestérolémie.
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Scandale sanitaire
L'Agence nationale de sécurité médicament et des produits de santé (ANSM) annonce la mise en place de contrôles renforcés sur cinq médicaments de la famille des sartans. Ces derniers, prescrits aux personnes souffrant d'hypertension artérielle, sont soupçonnés de contenir des substances cancérigènes. digicomphoto / iStock
Publié le 25. 01. 2019 à 15h52
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Il y a eu le valsantan, puis l' irbésartan. Prochainement, d'autres médicaments contre l'hypertension artérielle et l'insuffisance cardiaque pourraient être retirés du marché. L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) annonce en effet le renforcement des contrôles sur cinq médicaments de la famille des sartans. Le valsartan et l'irbésartan en font d'ailleurs partie. En cause? La présence d'impuretés classées comme cancérigènes probables dans certains lots. Contrôler les médicaments déjà fabriqués
Ces derniers mois, de nombreux lots ont dû être rappelés pour cette raison. L'Agence européenne du médicament (EMA) a donc mis en place de nouvelles règles.
Médicaments contre
La revue Prescrire a actualisé, dans son numéro de février 2018, sa liste « des médicaments à écarter des soins et à remplacer par de meilleures options car leur balance bénéfices-risques est défavorable ». Onze médicaments de cardiologie figurent dans cette liste de 90 médicaments jugés plus dangereux qu'utiles. Pour ces médicaments, de meilleures options sont suggérées. Les antihypertenseurs
« L' aliskirène (Rasilez), non commercialisé en France) un hypotenseur inhibiteur de la rénine, n'a pas d'efficacité démontrée en termes de diminution des accidents cardiovasculaires. À l'opposé, un essai chez des patients diabétiques a montré qu'il expose à un surcroît d'accidents cardiovasculaires et d'insuffisances rénales. Choisir parmi les nombreux hypotenseurs éprouvés avec succès est une meilleure option, notamment un diurétique thiazidique ou un inhibiteur de l'enzyme de conversion (IEC). »
Hypertension: l'aliskirène (Rasilez et Rasilex HCT) est à écarter, selon Prescrire (2017)
« L' olmésartan ( Alteis, Olmetec, et en association à doses fixes avec l'hydrochlorothiazide dans Alteisduo, Coolmetec ou avec l'amlodipine dans Axeler, Sevikar), un antagoniste de l'angiotensine II (alias sartan), n'est pas plus efficace que les autres sartans sur les complications cardiovasculaires de l'hypertension artérielle.
Elle n'apporte pas de progrès dans l'angor ni dans l'insuffisance cardiaque. Dans l'angor, on dispose de traitements éprouvés et efficaces: des bêtabloquants, voire des inhibiteurs calciques tels que l'amlodipine (Amlor ou autre) ou le vérapamil (Isoptine ou autre). Dans l'insuffisance cardiaque, il existe de meilleurs choix: s'abstenir d'ajouter un médicament au traitement déjà optimisé, ou utiliser un bêtabloquant d'efficacité démontrée sur la mortalité. »
Un vasodilatateur
« Le nicorandil (Adancor ou autre), un vasodilatateur sans efficacité démontrée au-delà de l'effet symptomatique en prévention de la crise d'angor d'effort, expose à des ulcérations cutanéomuqueuses parfois graves. Un dérivé nitré est une meilleure option en prévention de la crise d'angor d'effort. »
Les anti-angoreux
« La ranolazine (Ranexa), non commercialisé en France, un anti-angoreux de mécanisme d'action mal connu, expose à des effets indésirables disproportionnés en regard de son effet minime en termes de diminution du nombre de crises d'angor: troubles digestifs et neuropsychiques, palpitations, bradycardies, hypotensions artérielles, allongements de l'intervalle QT de l'électrocardiogramme, œdèmes périphériques.
Un grand nombre absolu de patients à risque
Bien que le risque soit faible, les chercheurs soulignent que les IECA sont l'une des classes de médicaments les plus prescrites, "de sorte que ces petits effets relatifs pourraient se traduire par un grand nombre absolu de patients à risque". "D'autres études avec un suivi à long terme sont maintenant nécessaires pour améliorer les preuves scientifiques sur l'innocuité à long terme de ces médicaments", ajoutent-ils. Aujourd'hui, l'hypertension artérielle (HTA) touche 15 millions de personnes en France, soit près d'un adulte sur trois. Selon l'étude Esteban récemment publiée par Santé publique France, 36% des hommes adultes sont aujourd'hui hypertendus, contre 25% des femmes. 60% des personnes âgées de plus de 65 ans souffrent par ailleurs de cette pathologie; des chiffres qui grimpent à 80% chez les plus de 80 ans. Le cancer du poumon est le plus meurtrier chez l'homme (devant le cancer colorectal et le cancer de la prostate) et le deuxième plus meurtrier chez la femme (après le cancer du sein et avant le cancer colorectal).
Depuis le 1er janvier, les fabricants de ces traitements doivent surveiller la teneur des substances soupçonnées d'être cancérigènes (NDEA et NDMA), et ce avant même de lancer la production des comprimés. Les sartans concernés sont le candesartan, le losartan, l'olmesartan, le valsartan et l'irbesartan. De plus, les laboratoires ont jusqu'au 31 mars prochain pour effectuer des contrôles renforcés sur les médicaments déjà fabriqués. Certains sont déjà dans les rayons des pharmacies. Éviter la rupture de stock
Selon l'ANSM, la présence de ces impuretés, qui serait liée au processus de fabrication des médicaments, ne comporte pas de risque à court terme. Ce qui pourrait être le plus dangereux pour les patients serait en réalité d'arrêter brutalement leur traitement, puisque la pression artérielle ne serait plus contrôlée. Pour faire face à de probables problèmes d'approvisionnement, certains laboratoires ont augmenté leur production. Et cela, à la demande de l'ANSM. En France aujourd'hui, 14 millions de personnes souffrent d'hypertension artérielle.